L'engagement citoyen en dehors des Partis est politique
Les contributions de Patrick.j.Salez
Les contributions de Patrick.j.Salez
La Rochelle, 28 novembre, manifestation contre le projet de loi sur la sécurité globale. 1000 participants–diront les organisateurs–La Rochelle joue des coudes pour coller au peloton des grandes métropoles. Je ne parviens pas à trouver mes camarades EELV, bannière invisible et absence au micro devant la préfecture, lequel fait pourtant… Lire la suite
Dès l’annonce du confinement, des centaines de milliers de personnes, issues des classes sociales plutôt aisées, ont quitté les centres urbains pour se réfugier à la campagne, à la montagne et sur le littoral. Cet exode a révélé, s’il en était besoin, l’extrême vulnérabilité des métropoles : promiscuité, saturation des services… Lire la suite
Le bruissement médiatique dominant installe l’idée que les citoyens ne sont pas prêts à renoncer à leurs habitudes de consommation et que toute politique écologique radicale est vouée à l’échec. Mais les pieds de plomb de la transformation social-écologique de notre société sont ailleurs, en particulier dans le chantage de… Lire la suite
On ne trouve pas trace de la transition alimentaire dans le livre-programme Bien Vivre d’EELV, et les références à cette notion sont rares dans le discours de l’écologie politique. Il s’agit pourtant d’une composante essentielle de la transition écologique. Tentons de la caractériser.
L’alimentation figure, aux côtés du logement et de… Lire la suite
Les présidentielles 2022, c’est demain, et la question est simple : la social-écologie politique veut-elle jouer les agents d’ambiance, témoigner (une fois de plus), figurer (parmi les formations à haut score électoral) ou gagner ? Je m’efforce encore de croire en la quatrième option, mais, si c’est le cas, le Parti… Lire la suite
L’écologie politique a dû affronter toutes sortes de prototypes de climatosceptiques. À mesure qu’elle devient plus forte, plus convaincante, ses contempteurs se font plus féroces. Elle a surtout trouvé son Grand illusionniste. Car Macron a une façon très personnelle de tirer les vertes leçons des municipales et de la Convention… Lire la suite
Des mots qui soient un peu plus clairs… Albert Camus disait que mal nommer les choses contribue au malheur du monde. Mal nommer les choses pourrait également contribuer au malheur de l’écologie politique. Il devient urgent, si nous voulons convaincre et mobiliser l’opinion publique, d’utiliser un langage commun et compréhensible… Lire la suite
I) Penser l’après COVID-19.
Nous vivons une période paradoxale : décroissance forcée des activités, casse économique et sociale d’un niveau inégalé et, simultanément, récupération écologique et climatique de la planète. En situation de confinement, pratiquer un vagabondage mental sur notre avenir est nécessaire et roboratif, d’autant que les leçons à tirer de… Lire la suite
La chaleur monte sur les trottoirs, les rares îlots de fraîcheur n’y suffiront pas, l’herbe est déjà rase aux Buttes-Chaumont comme dans le parc Montsouris. Il est temps pour Bovis Parisianus d’entamer, avec trois mois d’avance, sa transhumance estivale. D’autant que la peste bovine se transmet rapidement le long des… Lire la suite
Philippulus, le Prophète d’un album de Tintin annonçait « Des jours de terreur à venir, des jours de peste, de rougeole et de choléra ». Nous y sommes, nous voilà en pandémie ! Non, Monsieur Macron, pas en guerre, en pandémie. Aucune victoire possible au bout du fusil, nous n’éradiquerons pas le virus,… Lire la suite