Paris, 26 et 27 janvier : un vrai moment de travail bien sympathique.

Après l’expression de chacun sur les actions à mener par la Coopérative, il est apparu de toute évidence que c’était justement ces actions qui rendraient plus visible notre réseau.

Plusieurs actions ont été consenties (pas de vote, pas d’objection) pour mieux définir le Réseau coopératif :

  • Mieux mettre en lumière notre éthique ;
  • Favoriser la mise en place de la formation à la facilitation, en partenariat éventuellement avec l’université du Nous. L’objectif est de faire émerger des actions locales citoyennes. Il est remarqué que cette action est en phase avec les attentes d’une partie des gilets jaunes et des démarches des listes participatives qui commencent à se monter un peu partout en France pour les municipales de 2020 ;
  • Profiter de ces actions de facilitation pour faire émerger des « maisons coopératives des citoyens et de l’écologie », le cadre de ces maisons étant sociétal, afin d’agir pour en faire un réseau.
  • Porter une réflexion de think tank (groupe de réflexion et laboratoire d’idées) et s’en servir pour faire pression politiquement.
  • Le plan A consiste à renforcer notre position dans le mouvement EELV, tout en changeant peut-être de nom. Ce renforcement passe, entre autres, par la présentation d’une motion au prochain Conseil fédéral.
  • Il a été évoqué un plan B (partidaire) et un plan C (coopératif)
  • Il va être testé la possibilité pour chaque région et chaque maison coopérative d’accéder à un blog dédié à chacune.

En ce qui concerne la préparation de l’Agora, il a été décidé de limiter le temps de discussion sur la présentation de Julien Bayou et de présenter dès le matin notre motion, celle-ci apportant des précisions sur les deux collèges existant à l’intérieur du mouvement et proposant de donner une place différente aux commissions thématiques. L’idée est de faire émerger des avis trans-commissions sur les sujets qui nous préoccupent (par exemple la mobilité, la nucléaire, etc.) de manière à avoir des positions exploitables politiquement. Actuellement, les positions des commissions sont souvent très techniques et faites plutôt en direction du travail des élus ou bien des positions « réactives », mais pas suffisamment pensées transversalement pour être utilisées en positionnement politique. Trois possibilités ont été évoquées pour « fédérer les commissions », une consistant à créer un troisième collège à l’intérieur du mouvement, ou bien à l’intérieur de l’Agora, la troisième proposition, moins « opérationnelle », étant d’en faire un pôle de ressources.

En conclusion, un super travail qui, dans ses conclusions, associe une vision concordante entre chaque coopérateur et la notion de réseau qui nous anime.

Christian Olive

Coopérateur EELV

Languedoc-Roussillon

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *