Pour aller vers l’Archipel de l’écologie et des solidarités

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En cette période d’urgences et de défis majeurs, il est impératif que les organisations et les personnalités se reconnaissant dans l’écologie et les solidarités, au-delà des appels au rassemblement, adoptent une méthode leur permettant d’œuvrer ensemble en s’inspirant de principes.

Nous voulons contribuer à la construction d’une société qui ne soit pas aliénée à la croissance matérielle. L’émancipation individuelle et collective ne peut et ne doit plus reposer sur la démesure du PIB, de la richesse et . du pouvoir, mais sur d’autres sources d’inspiration : engagement au service du bien commun, respect de la dignité de la personne, émancipation des femmes et de tous les êtres humains discriminés, volonté de coopération, sobriété volontaire, respect de la nature. Nous voulons passer du pouvoir de domination au pouvoir de création.

Ces principes se déclinent dans cette charte en huit résolutions pour construire ensemble une société alternative qui soit fondée sur :

  • · La rupture avec le modèle productiviste, et extractiviste et , par une régulation de la finance et une redistribution sociale
  • · La décroissance sélective et une décarbonations de l’économie en rupture avec le consumérisme, en faveur de la convivialité et du bien vivre
  • · L’appropriation collective des biens communs
  • · La promotion de l’économie du partage et de l’usage
  • · La protection du Vivant et des équilibres naturels
  • · La réduction du temps de travail et la valorisation du temps libre
  • · La transition énergétique et un bouclier de services dans les territoires
  • • La mise en œuvre d’une République démocratique et décentralisée

La mutation vers une société du bien vivre est au cœur du projet de l’Archipel de l’écologie et des solidarités. Cette Grande Transition écologique, sociale et démocratique doit intégrer aussi des perspectives de résilience face à des risques réels d’effondrements. Sans avoir recours au
militantisme sacrificiel, cette transformation sociale suppose également une transformation personnelle dans nos pratiques militantes.


Conclusion
Nous sommes aujourd’hui nombreux mais dispersés. Tisser des liens au sein des organisations politiques et des organisations de transformation écologique et sociale est aujourd’hui impératif.
C’est dans les connexions entre ces organisations que résident notre principale source d’espoir.
Même s’il le désirait sincèrement, aucun gouvernement élu dans le monde ne disposerait aujourd’hui du pouvoir d’appliquer scrupuleusement les valeurs que nous défendons. Il se heurterait à l’oligarchie des détenteurs actuels des pouvoirs politiques, administratifs et économiques. Le changement doit donc être porté par un très fort soulèvement citoyen, relayé et accompagné par les organisations politiques, aux échelles mondiales et nationales, comme au niveau des territoires.

En proposer une est l’objectif de l’Archipel de l’écologie et des solidarités.


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Consulter la charte et les principes de gouvernance

Charte de l’Archipel de l’écologie et des solidarités

Archipel Gouvernance proposition

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