8 orientations pour le territoire ZAD NDDL

(CPR EELV 21 avril 2018)
Les violences sont un frein à toute solution.
Liberté de circulation : routes et chemins doivent être ouverts librement pour permettre à la population de circuler sans d’incessants contrôles d’identité ou contournements de barricades, et aux professionnels, dont les agriculteurs et les artisans de pouvoir exercer
leur métier.
Il faut permettre la poursuite des dépôts de projets au-delà du 23 avril et se donner le temps pour la concrétisation de projets qui vaille
moratoire.
Le territoire, libéré du projet d’aéroport, doit retrouver sa vocation agricole, rurale et culturelle dans le respect des règles environnementales.
Réinstaller le dialogue entre les « zadistes » et la puissance publique. Notamment avec la Préfète en local mais également s’appuyer sur les
élus du territoire.
L’agriculture est un secteur privilégié de solutions collectives : GAEC, CUMA, Coopératives, Coop. Activité/Emploi, SCOP, GI2E,
etc. Pour sortir du jeu dialectique collectif vs individuel, toutes les solutions existantes par ailleurs doivent être explorées.
L’action collective des « zadistes » repose sur un partage des communs, cela doit être encouragé comme l’existence de lieux d’échange, ainsi que des méthodes de travail collaboratives.
La re et/ou construction d’habitats légers prendra en considération les règles particulières aux zones humides.

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